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Cette semaine, nous testons pour vous le jeu SuperTux, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. Ce jeu de plate-forme s’inspire grandement des premiers titres de la saga Mario et remplace le plombier de Nintendo par le pingouin de Linux.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, voici le jeu SuperTux, un titre de plate-forme qui s’inspire clairement des Mario sur la Nes et la Super Nes, avec le plombier moustachu qui a laissé la place au pingouin bien connu des Linuxiens. 

On retrouve en effet les éléments caractéristiques tels que les cases à démolir, les pièces à récolter, le héros qui grandit pour gagner une sorte de vie supplémentaire grâce à une boule de neige (au lieu d’un champignon), les boules de feu (qui font fondre les ennemis ici), l’étoile d’invincibilité et la fin du niveau entre deux barres (comme dans Super Mario World). 

Les niveaux sont repartis en différents mondes, avec parfois plusieurs chemins.

Chose intéressante, en parlant des niveaux : il est possible de télécharger des niveaux supplémentaires et d’éditer ses propres niveaux. De quoi allonger la durée de vie du jeu. Les options sont disponibles dans le menu principal.

Commençons par la prise en main, qui passe obligatoirement par la manette.

Avec la manette de Free, la croix multidirectionnelle ou le stick sert à avancer, à reculer, à se baisser ou à activer des leviers permettant de faire descendre ou monter des plates-formes. Les boutons d’action 3 et 4 correspondent au saut, tandis que les boutons 1 et 2 permettent de lancer des boules de feu. Notez au passage que l’accès au menu passe par le bouton Select.

Si vous avez un doute enfin, sachez que des panneaux vous apprendront ou rappelleront les commandes.

Parlons maintenant des ennemis. Il y a notamment des boules de neige, des casques volants avec des pics ou encore des bombes desquelles il faut rapidement s’éloigner après avoir sauté dessus, au risque de subir l’explosion. Vous pourrez esquiver ce petit monde grâce à l’étoile d’invincibilité.

Toujours pour vous stopper dans votre progression, il y a également les fossés, dont certains avec des stalagmites. Vous remarquerez d’ailleurs assez rapidement que le sol glissant n’est pas là pour vous aider lorsque vous êtes à proximité de ces fossés (ou des ennemis)…

Concernant la difficulté, SuperTux est loin d’être injouable. Comme les jeux de plate-forme dont il s’inspire, il requiert juste un bon dosage dans les mouvements et un bon timing pour franchir les obstacles. Surtout avec le sol glissant évoqué plus haut.

Terminons sur le volet graphismes et musiques. Si la 2D s’avère très propre dans SuperTux, la bande son ne fera pas partie des aspects mémorables tant elle est répétitive et fade. Elle mélange musiques enfantines et musiques dance des années 90.

VERDICT : SuperTux propose un sympathique mélange de Mario et de Tux qui parlera sans doute aux inconditionnels de Nintendo et aux utilisateurs du monde Linux. Maintenant, il ne fait pas partie des jeux inoubliables. À moins d’un coup de cœur, on y jouera un peu par curiosité ou pour tuer le temps, avant de passer à autre chose.

Cette semaine, Univers Freebox teste pour vous le jeu Bomber Friends disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. 

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, Bomber Friends est un jeu d’arène, en solo ou en multi-joueurs, reposant sur un principe assez simple : vous devez nettoyer une zone de ses ennemis grâce à des bombes et en sortir vivant. 

Il propose une campagne solo avec des centaines de niveaux repartis en 6 mondes (Prairie, Désert, Château maudit, etc.), où il faut tuer les ennemis et atteindre la sortie, et un mode multi-joueurs en ligne, où il faut éliminer les autres joueurs et être ainsi le seul survivant de la zone.

Ci-dessous, un aperçu du mode solo

Le mode multi-joueurs en ligne, qui a le mérite de ne pas être déserté :

Dans les deux cas, il faut placer vos bombes au bon endroit, afin de faire exploser des briques pour ouvrir le chemin et récupérer différentes améliorations ou objets (vie, bouclier, bombe additionnelle à utiliser en parallèle de la bombe régénérée ou clé de sortie). Les bombes servent évidemment aussi à tuer les ennemis (flammes, araignées, vikings, etc.).

Commençons par les graphismes de type dessin animé et la musique à la sonorité enfantine. Agréables à regarder et à écouter, ils sont raccord et ne desservent ainsi pas le jeu. Bien au contraire.

Poursuivons avec la prise en main, passant obligatoirement par la manette. Il suffit se déplacer avec la croix multidirectionnelle ou avec le stick et de poser ses bombes avec le bouton 3 (si vous utilisez la manette Free). Notez d’ailleurs que des bombes récupérées permettent de faire des combos, au lieu d’attendre l’explosion pour utiliser une nouvelle bombe. Pratique pour coincer un ennemi un peu récalcitrant. Il faudra juste faire attention à éviter les dommages collatéraux, en se coinçant soi-même.

Le bouton 4 servira pour les PowerUps tels que de la dynamite pour étendre la zone d’explosion. La dynamite permet de faire exposer une zone de 5 cases sur 5. Les PowerUps s’obtiennent avec les crédits récoltés tout au long du jeu.

Le bouton 1 aura, quant à lui, son utilité pour ceux souhaitant avec une meilleure vue d’ensemble de la carte. Comme le montrent les captures ci-dessous, il permet en effet de dézoomer.

Concernant la difficulté, enfin, elle est plutôt bien dosée et progressive pour ne pas vous faire fuir à grandes enjambées. Comme indiqué plus haut, des améliorations sont disponibles, afin de faciliter la progression dans le jeu. S’il faut faire preuve de stratégie et de réactivité, Bomber Friends ne se révèle pas rapidement insurmontable.

VERDICT : Bomber Friends, c’est le jeu simple à prendre en main qui défoule et vous fait oublier l’horloge. L’adjectif addictif lui va très bien. Le fait que le mode multi-joueurs ne soit pas déserté par les joueurs lui donne encore plus d’intérêt. Vous l’aurez compris, on vous le conseille vivement. D’autant plus qu’il est gratuit.

Cette semaine, Univers Freebox teste pour vous le jeu Asphalt Xtreme: Rally Racing, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. 

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, ce jeu de course automobile, jouable en solo ou en multi-joueurs, vous propose de gagner des courses pour grimper dans les classements et améliorer votre bolide. À chaque début de course, un récapitulatif s’affiche à l’écran pour indiquer les objectifs à remplir et les récompenses à obtenir sous forme de crédits ou de caisses.

Notez, pour les plus impatients ou pour les courses devenant trop difficiles, que des achats intégrés peuvent simplifier les améliorations des véhicules et la progression dans le jeu. Des fenêtres pop-up n’oublieront d’ailleurs pas de vous rappeler cette possibilité.

Parlons ensuite de la prise en main. La manette s’avère obligatoire avec les gâchettes pour avancer et reculer, la croix multidirectionnelle ou le stick pour tourner et les boutons pour donner un petit coup de nitro ou changer de vue.

Nous avons d’ailleurs remarqué qu’après un petit coup de nitro, il faut lâcher et appuyer à nouveau sur le bouton d’accélération pour maintenir la vitesse. Dans le cas contraire, l’accélération n’est plus prise en compte et la vitesse diminue.

Passons à la difficulté du jeu. Les adversaires, sans être imbattables, ne font pas figuration. Ils sont clairement là pour vous mettre des bâtons dans les roues (au sens figuré). Fort heureusement, des bidons de nitro disponibles tout au long du parcours et à utiliser au bon moment vont permettront de terminer parmi les premiers. 

À condition, bien évidemment, de ne pas y avoir mis du sien, en démolissant son bolide ou prenant une mauvaise direction.

Il faudra également penser à l’entretien de la mécanique. En changeant l’huile, par exemple. L’opération est proposée avant le lancement de la course.

Le jeu vous propose même l’acquisition d’améliorations, à obtenir grâce aux crédits gagnés au fil des courses ou acquis grâce aux achats in-app.

Poursuivons avec les graphismes et la bande son. Sans être exceptionnels, les graphismes sont assez bien détaillés pour mettre en valeur les jolis paysages et assez fluides pour garantir une sensation de vitesse.

Notez enfin, et comme le montrent les bandes noires sur nos captures, que l’affichage en plein écran mériterait d’être optimisé. Rien de grave, toutefois. Totalement pris dans le jeu, nous ne l’avions même pas remarqué au départ.

Maintenant, on sent que le jeu pousse le décodeur de la mini 4K dans ses retranchements. Nous avons effectivement noté quelques petites saccades ici et là, notamment lorsqu’il y a du monde à l’écran. Il faut dire aussi que le jeu est lourd. Les 1,5 Go de téléchargement l’indiquaient déjà.

Quant à la bande son, elle n’est pas répétitive et se marie bien au contexte, participant ainsi grandement à l’immersion.

VERDICT : après quelques courses, le jeu Asphalt Xtreme: Rally Racing se révèle vraiment plaisant à jouer. Une bonne expérience qui s’explique par les graphismes plutôt bons, la bande son bien choisie et une prise en main aisée. Du côté des reproches, il y a les saccades durant le jeu et les temps de chargement parfois un peu longs, mais cela s’explique par un jeu assez lourd. Si vous êtes amateurs de jeu de course automobile, celui-ci mérite en tout cas d’être essayé. D’autant plus qu’il est gratuit.

Cette semaine, nous testons pour vous le jeu Alpa Guns, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. Ce beat them all puise son inspiration dans la saga Metal Slug de SNK. Et il le fait plutôt bien.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, voici le jeu Alpha Guns, un titre clairement inspiré de la saga Metal Slug de SNK. Le principe est assez simple, puisqu’il s’agit d’avancer tout en dézinguant des ennemis à tour de bras avec les armes à votre disposition. 

Commençons par la prise en main. Le jeu permet de jouer avec la télécommande de la mini 4K ou avec la manette Freebox. Nous vous déconseillons fortement le premier choix et vous suggérons plutôt d’opter pour le second. Tenir la télécommande en mode manette n’a rien d’agréable et passer son temps à chercher les boutons d’action n’a rien d’intuitif.

Avec la manette, la croix multidirectionnelle sert à avancer, reculer, se baisser ou viser vers le haut, tandis qu’on dispose de boutons pour le tir ou le saut. On peut d’ailleurs tirer en continu en maintenant le bouton de tir enfoncé. Une petite chose (désagréable) que nous avons constatée à plusieurs reprises lors de nos parties : la détection étrange de nos quelques manettes Freebox. On se retrouve à regarder en l’air ou à se baisser, au lieu d’avancer ou de reculer. Il nous a suffi de débrancher et rebrancher la manette pour que tout rentre dans l’ordre. Rien de grave, mais c’est le genre de choses que l’on aimerait éviter. D’autant plus que le jeu est encore mis à jour (la dernière update remonte en effet au 3 avril 2019).

Poursuivons avec les ennemis que vous serez amenés à croiser. Il y a évidemment ceux de base que l’on met hors d’état de nuire à l’aide d’une seule balle.

On tombe également sur des boss intermédiaires tels que les tanks et les hélicoptères, qu’il faut trouer comme du gruyère pour en venir à bout. Il suffit de les allumer et se mettre à l’abri quand vient leur tour de tirer, avant de revenir à la charge.

Les fins de niveau sont enfin synonymes de boss particulièrement coriaces. Citons la tête de mort qui vous attend à l’issue du premier niveau. Elle vous envoie la cavalerie et vous rentre dedans à l’occasion.

Parlons maintenant des armes. Il y a le pistolet de base dont les munitions sont illimitées et les armes plus efficaces telles que la mitraillette, le lance-flamme ou le lance-roquettes dont les munitions sont limitées. Évidemment.

Ces armes plus efficaces peuvent être ramassées sur le chemin grâce à des caisses parachutées ou bien achetées depuis la boutique intégrée au jeu dont nous parlerons plus bas. Elles seront bienvenues au moment de s’attaquer aux boss intermédiaires, et encore plus aux boss finaux. Sans elles, on a un peu l’impression d’avoir un pistolet à bouchon à ce moment-là…

Sur votre route également, des vies supplémentaires amenées par des ailes, qui ne seront d’ailleurs pas un luxe, tant la difficulté est vite perceptible et croissante.

Cette difficulté, justement, sera là pour vous inciter à mettre la main au porte-monnaie. En effet, si Alpha Guns est téléchargeable gratuitement, il propose des achats in-app pour faciliter votre progression et surtout rémunérer le développeur. 

Des achats in-app de quelques euros qui, cumulés, peuvent d’ailleurs vite faire grimper la facture. La personne et l’arme la moins chère valent par exemple 2,19 euros chacune. Un aspect à garder à l’esprit si le jeu vous plait vraiment et si vous comptez le terminer.

VERDICT : avec ses graphismes sympas, sa musique hardrock qui se laisse écouter (même si un peu répétitive), sa prise en main aisée (si on met de côté la mauvaise détection de la manette facile à corriger) et sa bonne fluidité, Alpha Guns a des arguments pour plaire à ceux cherchant un bon défouloir ou même aux amateurs de Metal Slug dont il s’inspire. Reste la difficulté vite palpable qui vous suggérera rapidement de passer à la caisse pour profiter pleinement du jeu. Un aspect à prendre en compte si vous n’êtes pas de ceux qui payent. Et pour ceux qui imaginaient jouer à la télécommande, comme nous le disions en début d’article, c’est clairement à oublier. Manette obligatoire ou crise de nerfs assurée.

C’est un jeu qui vous plonge dans la peau d’un homme sauvage que nous vous présentons aujourd’hui sur la Mini 4K. Jungle Adventures 2 est disponible gratuitement sur le playstore de la Freebox Mini 4K ou en cliquant directement sur ce lien. 

Vous incarnez ainsi un homme sauvage essayant d’arrêter un sorcier qui cherche à devenir immortel. Le scénario est assez simple et sert surtout d’excuse pour vous lancer dans une aventure au travers de la jungle mais aussi dans différents environnements. 

A l’image du jeu, le menu est classique proposant bien sûr des achats dans l’application sur son shop.

Pas besoin de gamepad pour ce jeu, puisqu’il est directement adapté à l’Android TV et vous propose d’utiliser votre télécommande verticalement. Le jeu propose un gameplay assez classique pour un plate-former, à savoir utiliser les croix directionnelles pour se déplacer à droite et à gauche, la touche 2 pour sauter et la touche 5 pour réaliser diverses actions. 

Le jeu vous propose ainsi de vous déplacer en sautant de plate-formes en plate-formes, sans vous faire avoir par les différents monstres, plantes carnivores etc… présents dans la jungle. Pour cela vous serez aidés de bonus divers, comme de pouvoir monter sur un taureau qui chargera tous vos assaillants, d’être protégés par un génie pendant un petit laps de temps…

Protégé par les génies, chevauchant des animaux… La nature est de votre côté ! 

Vous pourrez également vous servir de différents objets, que ça soit pour vous débarasser d’un énorme ennemi en utilisant des poires-bombes, ou bien pour empiler des caisses afin d’atteindre des sommets hors de votre portée. 

Jungle Adventure 2 propose également des possibles personnalisation de votre personnage et pour cela, il faudra collecter les fruits que vous trouverez sur la route et qui vous serviront de monnaie pour acheter des skins pour votre homme de néandertal. 

Le jeu propose également des phases bonus permettant de collecter cette monnaie dans un temps impartis, en tirant à profit vos connaissances sur les différents tremplins et obstacles que vous croiserez sur votre route. 

Graphiquement le jeu est dans la moyenne haute de ce que l’on peut attendre d’un jeu Android TV, l’animation est fluide pour peu que votre télécommande réponde bien aux commandes que vous lui donnerez. En effet, il est arrivé quelques fois que le bouton "saut" ne réponde pas, causant ainsi notre chute dans un précipice. 

Des changements graphiques plus que bienvenus dans un jeu dont le gameplay ne change pas énormément. 

Mis à part ce petit problème qui peut très bien venir de notre télécommande, ce jeu ravira petits et grands amateurs de plate-forme en proposant un gameplay assez classique mais un univers varié et une fluidité très appréciable. 

C’est un nouveau jeu de réflexes qui vous plonge dans un monde de science-fiction que nous testons aujourd’hui sur la Freebox Mini 4K. 

Jump Drive est disponible gratuitement sur le play store de votre box ou bien en cliquant directement sur ce lien. Vous y incarnez un vaisseau, perdu dans le vide de l’espace, sautant de points en points dans l’univers en évitant les divers obstacles qui se dresseront sur votre route. 

Le jeu demande une manette pour y jouer, ce que l’on peine un petit peu à comprendre puisque le gameplay est plus que simpliste. Il vous suffira d’appuyer sur le bouton A de votre manette pour passer d’une plate-forme à l’autre. 

Le design du jeu est assez minimaliste en soi, votre vaisseau ressemblant à une fusée améliorée et les obstacles ne représentant que des gadgets technologiques bardés de lasers et de lames, prêts à vous écraser, vous découper en morceaux… Enfin, à détruire votre vaisseau en somme. 

Le jeu fonctionne sur une mécanique assez simple : analyser le pattern (le schéma d’action) de l’obstacle qui vous fait face pour sauter au bon moment. Cependant, vous ne disposerez pas d’un temps illimité pour réagir, puisque votre vaisseau continue d’avancer lentement vers le point que vous visez. Il vous faudra donc réagir promptement sans pour autant vous précipiter. 

C’est l’une des qualité du jeu d’ailleurs, vous pousser à la réflexion et à soupeser chaque action, tout en instillant un sentiment d’urgence lorsque vous voyez votre vaisseau s’approcher un peu trop près d’un laser menaçant. 

L’animation est très fluide et le jeu vous récompensera pour certaines actions réalisées in-extremis en faisant réaliser à votre vaisseau une embardée ou un tonneau pour éviter les obstacles, parfois produisant une gerbes d’étincelles lorsqu’il les frôle. 

Il est également possible de personnaliser votre vaisseau. Quelques bonus sont disséminés dans jeu, dont un bouclier qui sert à passer un obstacle trop difficile, un multiplicateur de cristaux, les items que vous amasserez durant le jeu. 

Si le jeu est plus qu’agréable graphiquement et facile à prendre en main tout en proposant un challenge, il varie assez peu dans son gameplay. Le système de déblocage de nouvelles "portes" est également assez répétitif puisqu’il nécessite de plus en plus de cristaux pour y accéder.  

En somme, Jump Drive est un bon jeu sur lequel passer le temps lors d’une pause, mais ne vous attendez pas à une expérience sur la durée. Si vous aimez ce type de jeu rappelant l’arcade, nous vous conseillons également Orbia que nous avons testé il y’a peu. 

 C’est aujourd’hui un jeu de labyrinthe et de réflexes amusant et gratuit que nous testons pour vous sur la Freebox Mini 4K. Il est disponible sur le play store de la box ou directement sur ce lien.

Mousebot, développé par Vector Unit est un jeu qui vous mettra dans la peau d’un robot souris sur lequel un chat scientifique teste ses pièges diaboliques. Votre mission, si vous l’acceptez, sera de survivre au labyrinthe infernal dans lequel vous êtes piégé tout en récoltant un maximum de fromage.

Le jeu vous propose une soixantaine de niveaux différents que vous devrez réussir un par un, chacun de ces niveaux étant réparti en 9 univers différents. Chaque univers proposera de nouveaux obstacles, mais aussi de nouvelles mécaniques de jeux comme le saut, pouvoir se surélever…

De nombreux pièges vous attendent et il faudra de la patience pour arriver à finir tous les niveaux !

Le gameplay de base est assez simple: vous avancez constamment et devez vous diriger à l’aide du stick directionnel gauche. D’autres fonctionnalités arriveront au fur et à mesure de votre avancée dans le jeu. Une qualité non négligeable que l’on peut noter pour Mousebot, c’est d’être très fluide pour un jeu Android TV, vous permettant ainsi de naviguer librement dans le labyrinthe sans pouvoir blâmer la manette ou la box quand votre robot est pris dans un piège. 

Le jeu vous pousse à prendre des risques pour récolter des fromages, qui sont une des monnaies qui vous servira notamment à débloquer ou acheter des skins pour personnaliser votre robot. De plus, à chaque début de niveau, le jeu vous donnera deux objectifs à remplir : le premier est de finir le niveau, l’autre équivaut à un nombre de fromages minimum à récupérer. Une jauge est d’ailleurs présente lors de votre partie pour voir où vous en êtes dans cet objectif précis. 

Récoltez un maximum de fromage ! 

De nombreux skins de personnalisation, que ça soit en peignant votre robot ou en lui octroyant des accessoires sont disponibles de deux manières. Soit vous les achetez avec de la monnaie sonnante et trébuchante ou avec des éclairs dont on parlera un peu plus bas, soit vous les gagnez pour chaque palier de 100 fromages acquis durant vos niveaux. Dans ce cas précis, vous gagnerez soit un skin soit un accessoire au hasard sans possibilité de choisir. 

Des personnalisations plus ou moins sympathique, entre le robot pirate et la tapisserie de salon…

Le jeu est aussi basé sur un système de vies limitées. Toujours dans l’optique de vous pousser à récupérer le maximum de fromages possibles et donc de prendre des risques, vous pourrez, si vous remplissez les deux objectifs du niveau, récupérer un éclair. C’est la monnaie la plus importante du jeu, puisqu’elle permets soit d’acheter des skins, mais surtout de racheter des vies supplémentaires lorsque votre compteur est arrivé à 0. Il est évidemment possible de débloquer les vies illimitées pour 4.99€ dans le jeu si vous le souhaitez. 

Ce système de vie peut vous gêner cependant, puisqu’il vous est obligatoire d’utiliser au moins un éclair pour redébloquer vos six vies initiales. Mais le jeu est assez facile pour collecter des éclairs à chaque niveaux, il faut juste être prêt à prendre quelques risques en frôlant des pièges. 

Le jeu est très coloré, les animations sont fluides et l’ambiance est assez fun pour amuser petits et grands pendant quelques temps. La durée de vie du jeu semble pouvoir tenir quelques après-midis au vu du nombre de niveaux proposés. 

En résumé, Mousebot vous permettra de vous divertir tranquillement, seul ou même en famille, et est particulièrement adapté à l’Android TV que ça soit par son gameplay ou par ses capacités techniques et visuelles. 

Aujourd’hui c’est une application de regroupement d’émulateurs de nombreuses consoles gratuit que nous testons pour vous sur la Freebox Mini 4K. Retroarch est disponible sur le playstore de la box ou bien directement en cliquant sur ce lien.

Retroarch propose tout un stock d’émulateurs à télécharger pour simuler une console rétro que vous avez eu, ou n’avez pas pu avoir à l’époque.  L’application permet ainsi de simuler le fonctionnement d’une Super NES comme d’une Playstation, en se limitant aux consoles sorties avant les années 2000 tout de même. 

Les émulateurs sont biens connus des amateurs de rétro-gaming puisqu’ils sont souvent le seul moyen (autre que d’avoir directement la console chez soi), de jouer à des jeux cultes comme les premiers Sonic, Mario ou dans le cas de ce test, à Final Fantasy VIII. 

Si nous ne pouvons pas vous expliquer directement comment télécharger une ROM, voici la marche à suivre pour installer et jouer à un jeu rétro via cette application. Une fois l’application téléchargée, il vous faudra d’abord trouver le firmware de la console que vous souhaitez simuler (pour une PSX, une référence se trouve ci dessous) et le télécharger sur votre pc. De même, il vous faut trouver une ROM correcte à utiliser qui corresponds au jeu.

Chaque jeux ou consoles différent(e)s nécessitant cette opération, il est conseillé de faire ses recherches en amont afin d’éviter de devoir répéter la manipulation à chaque fois.

Une fois la ou les ROM téléchargée(s), il vous faudra les copier sur une clé USB puis la brancher à la box. Rendez vous ensuite dans l’explorateur de fichier pour copier ces fichiers (uniquement les fichiers, pas les dossiers) dans le dossier réservé à Retroarch. Le firmware doit être copié dans le dossier "System" et les ROM doivent être copiées dans le dossier "Download". 

Une fois ces manipulations faites, vous pourrez lancer l’application sans problème. Petit hic, la langue par défaut est l’anglais, il vous faudra donc vous rendre le menu "User" et sélectionner votre langue de prédilection si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare

Une fois cette opération faite, vous pourrez vous lancer dans le concret et jouer. Pour cela, il vous faudra d’abord sélectionner votre émulateur (le "coeur" comme traduit maladroitement par l’application). Retroarch vous proposera de télécharger directement un émulateur en fonction de la console concernée. Vous y trouverez ainsi une liste triée par firme et par console. Attention, tous les émulateurs ne fonctionnent pas forcément et il vous faudra peut être en installer plusieurs pour trouver le bon. Pour notre test, nous avons choisi PCSX ReARMed, un émulateur playstation. 

Un grand catalogue de consoles à émuler s’ouvre ainsi à vous. 

Avant de complètement lancer le jeu, nous vous conseillons de bien configurer votre gamepad pour que les touches soient adaptées à votre expérience de jeu. Nous vous conseillons également de bien vérifier vos paramètres de sauvegarde et de créer un bouton de retour au menu (qui est désactivé par défaut) comme montré ci dessous.

Une fois que vous aurez cliqué sur la barre présentée, vous pourrez sélectionner la combinaison de touche qui vous corresponds le mieux. 

Une fois cette opération effectuée, vous pourrez jouer au jeu en cliquant sur "charger le contenu". Sélectionner le fichier de téléchargements pour lancer l’image de votre jeu, l’émulateur prendra le reste en main pour vous permettre de revivre les sensations des jeux d’antan. 

Retrouvez vos jeux iconiques comme à l’époque de leur sortie.

En somme, cette application vous permettra de rejouer à des jeux qui ont depuis longtemps disparus de la circulation en  version physique ou qui sont devenus si rares qu’ils en sont des objets de collection. Retroarch s’adresse cependant à un public connaissant initialement le fonctionnement des émulateurs et peut être compliquée à appréhender pour des néophytes.